Lorsque l’épouse du célèbre écrivain chrétien C. S. Lewis était sur le point de mourir, Lewis écrivit: « Ce n’est pas que je suis en grand danger de ne plus croire en Dieu (je pense). Le vrai danger est d’en venir à croire des choses aussi terribles à Son sujet. La conclusion que je redoute n’est pas: ‘‘Il n’y a donc pas de Dieu’’, mais: ‘‘voici donc ce à quoi ressemble vraiment Dieu’’ ». (A Grief Observed, New York: HarperCollins Publishers, Inc., 1961, pp. 6, 7.)

Quand les choses deviennent vraiment douloureuses, certains d’entre nous rejettent complètement Dieu. Pour d’autres comme Lewis, il y a la tentation de changer notre vision de Dieu et d’imaginer toutes sortes de mauvaises choses à son sujet. La question est, à quel point la chaleur peut-elle être extrême? Quel niveau de chaleur Dieu est-il prêt à faire subir Son peuple afin de réaliser Son but ultime de nous façonner à « l’image de son Fils »? (Romains 8:29, LSG).

La semaine en bref: Selon vous, pourquoi Dieu est-il prêt à risquer le fait d’être mal compris par ceux à qui Il veut se faire connaître et aimer? Jusqu’à quel extrême pensez-vous que Dieu est prêt à tolérer le fait d’être mal compris pour vous modeler à « l’image de son Fils »?

Étudiez cette leçon pour le sabbat 30 juillet.