«
Si Joseph et Marie étaient restés en étroite
communion avec Dieu par la méditation et la prière, ils
auraient reconnu le caractère sacré du dépôt
qui leur avait été confié, et nauraient pas
perdu de vue Jésus. Un seul jour de négligence leur ravit
le Sauveur ; pour le retrouver, il leur a fallu trois jours de recherche
anxieuses. Nous-mêmes faisons semblable expérience : par
des conversations oiseuses, des médisances, ou par la négligence
de la prière, nous risquons de perdre en un jour la présence
du Sauveur, et bien des jours de recherches douloureuses peuvent sécouler
avant que nous layons retrouvé et que nous soyons rentrés
en possession de la paix momentanément disparue. » Ellen
White, Jésus-Christ, p. 66
La tentation en elle-même
nest pas le péché. Au sens biblique, la tentation
a le potentiel daffirmer la possibilité de la sainteté.
Etre tenté est une chose. Tomber dans le péché en
est une autre. Par ailleurs, navons-nous pas une responsabilité,
qui consiste à faire tout notre possible pour éviter la
tentation ?
Les philosophes et les théologiens
évoquent souvent ce quils appellent un « métarécit
», une grande histoire ou un grand thème conducteur, et au
sein duquel se déroulent dautres histoires. Autrement dit,
un métarécit constitue le contexte ou larrière-plan
dans lequel dautres histoires et dautres évènements
se déroulent. En tant quadventistes du septième jour,
nous considérons le grand conflit comme le « métarécit
» ou larrière-plan de ce qui se passe, non seulement
ici sur cette terre, mais également au ciel. Quels textes dans
la Bible nous montrent la réalité du grand conflit, ainsi
que le sens quil confère aux évènements ?
Citez quelques textes bibliques
puissants qui nous promettent la victoire sur les tentations qui se présentent
? Pourquoi, cependant, même avec ces promesses, est-il si facile
de chuter ?
Lune des leçons de
cette semaine disait ceci : « Douter de la Parole de Dieu constitue
la première étape avant de céder à la tentation.
» Pourquoi est-ce le cas ?
En quoi lidolâtrie
peut-elle être bien plus subtile que le simple fait de se prosterner
et dadorer autre chose que le Seigneur ?