VENDREDI 10 avril, 2014

 

« Si Joseph et Marie étaient restés en étroite communion avec Dieu par la méditation et la prière, ils auraient reconnu le caractère sacré du dépôt qui leur avait été confié, et n’auraient pas perdu de vue Jésus. Un seul jour de négligence leur ravit le Sauveur ; pour le retrouver, il leur a fallu trois jours de recherche anxieuses. Nous-mêmes faisons semblable expérience : par des conversations oiseuses, des médisances, ou par la négligence de la prière, nous risquons de perdre en un jour la présence du Sauveur, et bien des jours de recherches douloureuses peuvent s’écouler avant que nous l’ayons retrouvé et que nous soyons rentrés en possession de la paix momentanément disparue. » Ellen White, Jésus-Christ, p. 66


À méditer

• La tentation en elle-même n’est pas le péché. Au sens biblique, la tentation a le potentiel d’affirmer la possibilité de la sainteté. Etre tenté est une chose. Tomber dans le péché en est une autre. Par ailleurs, n’avons-nous pas une responsabilité, qui consiste à faire tout notre possible pour éviter la tentation ?

• Les philosophes et les théologiens évoquent souvent ce qu’ils appellent un « métarécit », une grande histoire ou un grand thème conducteur, et au sein duquel se déroulent d’autres histoires. Autrement dit, un métarécit constitue le contexte ou l’arrière-plan dans lequel d’autres histoires et d’autres évènements se déroulent. En tant qu’adventistes du septième jour, nous considérons le grand conflit comme le « métarécit » ou l’arrière-plan de ce qui se passe, non seulement ici sur cette terre, mais également au ciel. Quels textes dans la Bible nous montrent la réalité du grand conflit, ainsi que le sens qu’il confère aux évènements ?

• Citez quelques textes bibliques puissants qui nous promettent la victoire sur les tentations qui se présentent ? Pourquoi, cependant, même avec ces promesses, est-il si facile de chuter ?

• L’une des leçons de cette semaine disait ceci : « Douter de la Parole de Dieu constitue la première étape avant de céder à la tentation. » Pourquoi est-ce le cas ?

• En quoi l’idolâtrie peut-elle être bien plus subtile que le simple fait de se prosterner et d’adorer autre chose que le Seigneur ?