Si nous devions rédiger une déclaration de mission pour Jésus, on ne pourrait pas trouver mieux que de répéter ses propres paroles : « sauver et chercher ce qui était perdu ».

Qu’est-ce qui était perdu ? L’humanité elle-même, qui était loin de Dieu, sujette à la mort, et remplie de peur, de déception, et de désespoir. Si rien n’était fait pour nous, nous serions tous perdus.

Grace à Jésus, toutefois nous avons tous de grandes raisons d’avoir de l’espoir.

« Par son apostasie, l’homme s’était séparé de Dieu ; la terre avait divorcé d’avec le ciel : à travers l’espace qui les séparait, les communications étaient devenues impossibles. Mais grâce à Jésus-Christ, la terre a été de nouveau reliée au ciel. Par ses mérites, le Sauveur a jeté un pont sur l’abime creusé par le péché [...] Par Jésus, l’homme déchu, faible et impuissant, a pu de nouveau avoir accès à la source de la puissance infinie. » Ellen G. White, Le meilleur chemin, p. 18.

De Genèse a l’Apocalypse, la Bible est l’histoire de Dieu en quête de l’humanité perdue. Luc illustre cette vérité en citant trois paraboles importantes : la brebis perdue (Lc 15.4-7), la pièce perdue (versets 8-10), et le fils prodigue (versets 11-32).

« Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat 23 mai »