VENDREDI 17 avril, 2014

 

« Evitez toute question en lien avec l’humanité du Christ qui pourrait être mal comprise. La vérité est proche du sentier de la présomption. Quand vous parlez de l’humanité du Christ, vous devez veiller sur toute affirmation, de peur que vos paroles ne soient interprétées comme voulant dire plus qu’elles n’en disent et qu’ainsi vous perdiez ou assombrissiez les claires perceptions de son humanité combinée à sa divinité. Sa naissance fut un miracle de Dieu […] Ne laissez jamais, en aucune façon, la plus petite impression sur quiconque qu’une souillure, on qu’une inclination de corruption reposait sur Christ, ou qu’il ait en aucune manière cédé à la corruption. Il a été tenté en tous point comme chacun est tenté, pourtant il est appelé “le saint enfant”. C’est un mystère qui est inexplicable pour les mortels que Christ ait pu être tenté comme nous le sommes, tout en étant sans péché. L’incarnation du Christ est et demeurera à jamais un mystère. » Ellen G. White Comments, The SDA Bible Commentary, vol. 5 PP. 1128, 1129.


À méditer

Lisez la déclaration d’Ellen White ci-dessus sur la nature humaine du Christ. Nous devons reconnaitre que la nature humaine de Jésus ainsi que sa nature divine constituent une vérité grandiose que, pour l’instant, nous ne pouvons pas pleinement comprendre. Comme elle l’a écrit : « L’incarnation du Christ est, et demeurera a jamais un mystère. » Pourquoi, dans ce cas, devons-nous faire très attention à ne pas prononcer de jugement sévère envers ceux qui ne comprennent pas nécessairement ce « mystère » de la même manière que nous?

• Réfléchissez à ce qui est arrivé sur la montagne ou Jésus a été transfigure. Cet évènement extraordinaire dans l’histoire du salut était sur le point de produire, et qu’ont fait les disciples choisis pour l’accompagner sur la montagne ? Dormir ! En quoi cela peut-il être une métaphore pour nous croyants, de manière individuelle ou collective, nous qui vivons juste avant un grand évènement de l’histoire du salut : le retour de Jésus?

• Lisez quelques paroles que Jésus a dites sur lui-même. Pourquoi, à la lumière de ce qu’il dit, l’idée que Jésus était simplement un grand homme, un grand prophète, ou un grand chef spirituel est-elle en toute logique défectueuse ? Pourquoi doit-on, soit accepter qu’il soit ce qu’il a dit qu’il est, soit admettre qu’il était un fou et quelqu’un qui se berçât d’illusions sur lui-même? Pourquoi n’y a-t-il aucune autre option pour nous concernant l’identité de Jésus ?