Qui est Jésus-Christ?

La question n’est pas un gadget philosophique ou sociologique. Elle va au cœur de qui sont les humains, et, encore plus important, de ce que l’éternité aura en réserve pour eux.

Les gens peuvent admirer les œuvres de Jésus, célébrer ses paroles, vanter sa patience, défendre sa non-violence, acclamer sa fermeté, louer son esprit de sacrifice, et rester sans voix devant sa fin cruelle. Beaucoup peuvent même être prêts à accepter Jésus comme étant un homme de bien qui a essayé de remettre de l’ordre, d’insuffler de la justice là où régnait l’injustice, de proposer la guérison là où régnait la maladie, et d’apporter du réconfort là où régnait la misère.

Certes, Jésus mériterait bien le titre du meilleur maitre, celui de révolutionnaire, de chef par excellence, et de psychologue qui peut sonder les profondeurs de l’âme. Car il était tout cela et bien plus encore.

Cependant, rien de tout cela ne répond à la question primordiale que Jésus lui-même a posée: « Qui dites-vous que je suis ? » (Lc 9.20, Colombe).

C’est une question qui exige une réponse, et de cette réponse dépend le destin de l’humanité.

« Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat 18 avril »