VENDREDI 5 décembre, 2014

 


« L’argent est précieux parce qu’il peut faire beaucoup de bien. Entre les mains des enfants de Dieu, c’est de la nourriture pour les affamés, de la boisson pour celui qui est altéré, des vêtements pour celui qui est nu, une défense pour l’opprimé et un secours pour les malades. Mais s’il n’est pas employé en vue des besoins de l’existence, du bien de nos semblables et de l’avancement de la cause du Christ, il n’a pas plus de valeur que le sable.

L’argent accumule est non seulement inutile, mais il représente une malédiction. Ici-bas, il est un piège pour l’âme et détourne les affections du trésor céleste […] Celui qui comprend que son argent est un talent reçu du Seigneur sera économe, il se sentira dans l’obligation de l’être afin de pouvoir donner. » - Ellen G. White, Les Paraboles de Jésus, p. 305, 306.

 


À méditer

 

• Réfléchissez aux déclarations suivantes : « le riche domine sur le pauvres ; celui qui emprunte est l’esclave de celui qui prête » (Pr 22.7). « Beaucoup de familles sont pauvres parce qu’elles dépensent tout leur argent dès qu’elles le reçoivent […] Lorsque quelqu’un s’engage dans les dettes, il tombe dans les filets que Satan déploie devant les âmes. » Ellen G. White, Le foyer chrétien, P. 378. Aider les gens à sortir des dettes ou éviter d’y tomber fait-il partie de l’annonciation de « la bonne nouvelle aux pauvres ? » (Lc 4.18). Pourquoi ?

• Comment savoir avec certitude si l’argent nous sert ou si nous servons l’argent ? Voir Luc 16.10-13.

• Les inégalités économiques sont partout. Certains ont 2, 3, ou même 4 maisons luxueuses tandis que d’autres se contentent de ramasser quelques morceaux de bois pour en faire un abri de fortune. Et que dire de ceux qui sont devenus obèses à forcer de s’empiffrer pendant que dans le monde, des enfants vont au lit sans manger ? Certains prétendent qu’en prenant aux riches, on peut donner aux pauvres. D’autres avancent que si les riches deviennent encore plus riches, ils peuvent aider les pauvres à se sortir de leur condition. Que faisons-nous, en tant que chrétiens, pour alléger le problème de l’extrême pauvreté ? Que devons-nous faire, et que ne devons-nous pas faire ?