VENDREDI 25 juillet, 2014

 

Lisez Ellen G. White, « Il nous faut un Sauveur, » pp.15-19, dans Le meilleur chemin ; Le sujet présenté en 1883, pp. 411-415, dans Messages choisis, volume I.

En regardant au Rédempteur crucifié, nous comprenons mieux la grandeur et la signification du sacrifice consenti par la Majesté du ciel. Le plan du salut est glorifié devant nous, et le souvenir du Calvaire éveille dans nos cœurs de vivantes et saintes émotions. Des louanges à Dieu et à l’Agneau jailliront de nos cœurs et de nos lèvres; l’orgueil et le culte du moi ne peuvent prospérer dans une âme qui garde le souvenir des scènes du Calvaire.

Celui qui contemple l’amour immaculé du Sauveur aura des pensées nobles, un cœur purifié, un caractère transformé. Il ira dans le monde pour y être une lumière, pour refléter, dans une certaine mesure, ce mystérieux amour. Plus nous contemplerons la croix du Calvaire, plus nous nous approprierons le langage de l’apôtre : « Quant à moi, certes non ! Je ne me glorifierai de rien d’autre que de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ, par qui le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde ! » — Ellen G. White, Jésus-Christ, p.665.

 

À méditer

 

• Le salut est un don, ce qui veut dire qu’il est gratuit. En même temps, ne coûte-t-il pas quelque chose ? Qu’est-ce que cela coûte d’accepter ce cadeau, et pourquoi – quel que soit le prix – en vaut-il la peine ?

• Lundi, nous avons lu des textes montrant que le salut est le résultat d’une initiative que Dieu a prise. Il fait les efforts possibles pour nous sauver. Pourtant, Jésus a également dit que nous devons rechercher le royaume de Dieu et sa justice (mt 6.33). Ses paroles « Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite » (Lc 13.24) impliquent qu’il nous faut rechercher notre salut. Comment expliquer cela ?

• Comment la mort de Jésus sur la croix révèle-t-elle la justice de Dieu ? Comment révèle-t-elle également sa miséricorde ?

• Si nous pouvions gagner la vie éternelle par nos propres moyens, par nos efforts et nos bonnes œuvres, et même par notre observation de la loi, qu’est-ce que cela dirait sur la gravité du péché ? À la place, songez combien le péché doit être grave puisque seule la mort de Jésus pouvait l’expier !

• Les juifs religieux voient dans le sabbat un avant-gout de ce que la vie éternelle sera. En quoi cette idée (la vie éternelle préfigurée dans le sabbat) a-t-elle du sens ?