La mort, dit-on, « fait partie de la
vie. » Cest faux.
La mort est la négation de la vie, et
non une partie de la vie. Pourtant, nous sommes tellement
habitués à la mort que nous nous trompons détiquette,
disant quelle est le contraire de ce quelle est
en réalité. Quelle que soit la manière
dont nous la comprenons, une chose est sure: sans laide
divine, la mort éternelle serait notre sort à
tous.
Par bonheur, cette aide est venue. Dieu, dans
son amour infini, nous offre le salut en Christ. Quand lange
a annoncé la naissance du Messie, il la appelé
« Jésus » (mot hébreu qui signifie
salut), « car cest lui qui sauvera son peuple
de ses péchés » (Mt 1.21).
Cette semaine, nous examinerons luvre
salvatrice de Jésus. Nous concentrerons dabord
notre attention sur la fondation de notre salut puis sur ses
résultats.
La Bible est claire. Nous navons que deux
choix concernant nos péchés: soit nous payons
pour nos péchés dans le lac de feu, ou soit
nous acceptons que le Christ ait payé pour nous à
la croix. Alors que nous examinons le don généreux
de la grâce de Dieu à travers Le Christ, renouvelons
de nouveau humblement notre foi personnelle en Jésus,
notre Sauveur.
«
Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat
26 juillet »
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