Jeudi 10 juillet, 2014

2_ Le Fils


La mission du Christ


Après avoir considéré qui était Jésus, nous sommes en mesure de mieux comprendre ce qu’il est venu faire pour nous.

Satan a émis des accusations contre Dieu. Pour faire face à ces accusations, Jésus est venu pour représenter le caractère du Père, et pour corriger la fausse idée que beaucoup avaient sur la Divinité. Il voulait que nous connaissions Dieu, car le connaitre est indispensable si l’on veut avoir la vie éternelle (Jn 17.3).

Cependant, il nous faut plus que de la connaissance pour être sauvés. Nous avons besoin que Dieu nous donne un Sauveur, qui est précisément le sens du nom Jésus : Jéhovah est salut (Mt 1.21). Jésus a décrit sa mission en des termes très clairs : « Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu » (Lc 19.10). En Éden, les humains ont perdu leur relation avec Dieu, ils ont perdu leur sainteté, ils ont perdu leur foyer, et ils ont perdu la vie éternelle. Jésus est venu tout restaurer : il rétablit notre relation avec le Père (Jn 1.51), il nous pardonne nos péchés (Mt 26.28), Il nous donne un exemple de la façon dont nous devons vivre (1 P 2.21), et bien entendu, il nous donne la vie éternelle (Jn3.16).

Comment Jésus a-t-il défini l’essence de sa mission ? Jean 10.11, Mt 20.28.

Pourquoi Jésus devait-il mourir ? Parce qu’il a pris volontairement notre place et a porté le châtiment de notre péché. Nous sommes tous pécheurs (Rm 3.10-12) et donc nous méritons la mort éternelle (Rm 6.23). Le prix de notre salut était si élevé que seule la vie du Fils de Dieu suffisait à le payer.

« La loi, violée, demandait la vie des transgresseurs. Or, cette loi était aussi sacrée que Dieu lui-même, et seul un être égal au Très-Haut pouvait, en fournissant la rançon du pécheur, devenir son substitut et le réconcilier avec lui. Cet être, c’était le Fils de Dieu, le glorieux commandant des armées du ciel. » Ellen G. White, Patriarches et prophètes, p.41.

Regardez le monde autour de nous et notre destin à tous. Si tout se terminait dans la tombe, quelle espérance aurions-nous? Nous n’en aurions aucune, si le plan du salut n’existait pas. Comment, alors, montrer notre gratitude envers Dieu pour ce qu’il a fait pour nous en Christ ?