Lisez Ellen G. White, « le sabbat, »
pp.268-277, dans Jésus-Christ.
« Le Fils de l’homme est maitre même
du sabbat. » Ces paroles sont pleines d’enseignements
et de consolations [...] [Il sert à] le designer comme
le Créateur et comme celui qui sanctifie, proclamant
que celui qui a créé toutes choses et qui les
soutient est aussi le chef de l’Eglise, par le pouvoir
de qui nous sommes réconciliés avec Dieu. En parlant
d’Israël, il dit: Je leur donnai aussi mes sabbats
comme un signe entre moi et eux, pour leur faire connaitre que
je suis l’Eternel qui les sanctifie. Le sabbat est donc
un signe indiquant que le Christ est capable de nous rendre
saints. Et il est donné à tous ceux que le Christ
sanctifie. En tant que signe de son pouvoir sanctifiant, le
sabbat est donné à tous ceux qui, grace au Christ,
sont incorporés à l’Israël de Dieu.
» - Ellen G. White, Jésus-Christ, p.
276.
• Nous appartenons à Christ, par création et
par rédemption. En quoi le sabbat nous rappelle-t-il tout
particulièrement ces vérités cruciales.
•
En quoi l’obéissance légaliste au quatrième
commandement est-elle un problème ? D’un autre côté,
pourquoi une observation « diluée » du sabbat
n’est-elle pas la solution au légalisme ? Quel est
l’élément clé qui fait de l’observation
du sabbat une veritable bénédiction?
•
Pourquoi le sabbat, et l’occasion de se reposer le sabbat
doivent-ils être un rappel particulier de cette vérité
cruciale : nous ne sommes pas sauvés par nos œuvres,
mais par les mérites du Christ à notre place? Comment
apprendre à développer une expérience plus
riche et plus profonde avec le Seigneur le jour du sabbat?
•
Quelles leçons pouvons-nous tirer de l’exemple du
Christ et ses guérisons le jour du sabbat sur la manière
de le garder? Comment ces guérisons nous aident-elles à
mieux comprendre tout le principe du sabbat?
•
On nous dit de « sanctifier » le sabbat. Pensez à
quelques-unes de vos activités sabbatiques. Dans quelle
mesure sont-elles saintes?