Vendredi, 20 septembre, 2013

 

« Quand les ouvriers posséderont en leur âme un Christ permanent, quand tout égoïsme sera mort, quand il n’y aura ni rivalité ni lutte pour la primauté, quand il y aura de l’unité, quand on se sanctifiera de manière à manifester l’amour fraternel, les ondées de la grâce du Saint-Esprit descendront sûrement, car pas un trait de lettre des promesses divines ne peur faillir. » — Ellen WHITE, Messages choisis, « Des enseignements fantasques ou spéculatifs », vol. 1, p. 206.

« Si nous voulons subsister au grand jour du Seigneur et trouver refuge dans le Christ, notre haute forteresse, nous devons renoncer à l’envie, et à toute manœuvre dominatrice. Nous devons détruire complètement les racines de ces choses impures, afin qu’elles ne puissent plus se développer dans notre vie. Nous devons prendre nettement parti pour le Seigneur et nous placer à ses côtés. » — Ellen WHITE, Événements des derniers jours, p. 144.

 

À méditer

 

• Lisez Col 3.12-17 en classe. Discutez des qualités chrétiennes que l’Eglise de Colosses doit rechercher selon les encouragements de l’apôtre Paul. Pourquoi la présence de telles qualités est-elle la base de la résolution de tout conflit ? Comment peuvent-elles nous guider dans le respect des fondements proposés par Jésus dans Mt 18.15-18?

• Revoyez Col 3.12-17 et les enseignements que l’on peut y puiser. Pourquoi ces conseils sont-ils essentiels pour voir la réalisation du réveil et de la réforme dont l’Eglise a si désespérément besoin?

• Lorsque nous considérons notre Église, c’est-à-dire l’Eglise adventiste dans son ensemble, quel élément nous empêche le plus de vivre le réveil et la réforme si indispensables pour toucher le monde entier? Est-ce nos enseignements et nos doctrines? À l’évidence, non. C’est cela même que Dieu nous demande de proclamer au monde. Le problème réside en nous, uniquement. Il est lié à nos relations interpersonnelles, nos jalousies mesquines, nos chamailleries, notre égoïsme, notre soif de pouvoir et tant et tant d’autres choses. Pourquoi nous, et non la personne assise à côté de nous à l’Eglise, et non le pasteur, ne plaiderions-nous pas pour que le Saint-Esprit, par sa puissance, provoque en nous les changements indispensables pour qu’un réveil et une réforme touchent l’ensemble de l’Eglise?