Après
avoir évoqué dans une de ses prédications
la présence constante de Dieu malgré les épreuves
de la vie, un pasteur se trouva confronté à
une femme qui, des larmes dans la voix, lui posa cette question:
« Pasteur, où était Dieu le jour où
mon fils unique est mort? » Lisant un profond chagrin
sur son visage, le pasteur resta un moment, silencieux et
répondit : « Dieu se trouvait au même
endroit que le jour où son Fils unique est mort pour
nous sauver de la mort éternelle. »
Comme
nous, Habacuc voyait autour de lui l'injustice, la violence
et le mal. Pire encore, Dieu semblait rester silencieux au
milieu de tout cela, bien qu'il ait demandé au prophète
de croire en ses promesses.
Le
prophète n'a pas vécu assez longtemps pour être
témoin de la réalisation des promesses, mais
il y croyait. Son livre commence par une complainte adressée
à Dieu et se termine par l'un des chants les plus magnifiques
de la Bible. Comme Habacuc, nous devons attendre avec foi
le jour où le monde sera rempli « de la connaissance
de la gloire du SEIGNEUR comme les eaux recouvrent la mer
». (Ha 2.14)
«
Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat
18 mai»
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