De toute façon, il est nécessaire de bien comprendre nos origines pour pouvoir appréhender correctement la morale, notamment en ce qui concerne la sexualité. Par exemple, la philosophie évolutionniste n'offre pas de base objective permettant de faire le lien entre l'activité sexuelle et la morale. Les animaux s'accouplent de diverses façons. Certains sont polygames, d'autres ont de multiples partenaires. Quelques espèces semblent monogames, mais selon les études faites dans le domaine de la génétique, elles ne le sont pas toujours en réalité. De nombreuses espèces donnent naissance à une progéniture qui n'a pas forcément le même père. Sans les valeurs morales objectives données par le Créateur, nous n'aurions aucun repère pour évaluer le bien-fondé d'un comportement sexuel. Le courant actuel, qui approuve le mariage homosexuel, illustre ce point. Ce n'est que dans une perspective créationniste qu'il est possible de comprendre ce qu'est véritablement le mariage.

« Dans l'Ancien comme dans le Nouveau Testament, la relation conjugale sert à représenter l'union tendre et sacrée qui existe entre le Christ et son peuple. La joie d'un festin de noces évoquait dans l'esprit de Jésus la joie de ce jour où il introduira son Épouse dans la maison du Père, où les rachetés s'assiéront avec le Rédempteur pour le souper des noces de l'Agneau. » - Ellen WHITE, Jésus-Christ, « Au repas de noces », p. 134, 135.