La
sexualité humaine est l'un des plus grands exemples
de l'amour de Dieu pour l'humanité. Cest véritablement
un don merveilleux de sa part. Cependant, comme tous les
dons reçus, il n'est pas inconditionnel. On ne peut
vivre sa sexualité n'importe comment. Dieu a établi
des règles; Et, de toute évidence, le Seigneur
est très clair: l'activité sexuelle doit avoir
lieu entre un mari et sa femme, c'est-à-dire deux
personnes de sexes opposés, et seulement dans le
contexte du mariage. Toute autre chose est un péché.
Lisez
Mt
5.27-30. Voyez avec quel sérieux Jésus
traite de cette question. Qu'est-ce qui est en jeu, finalement?
Même
si nous apprécions de pouvoir nous concentrer (à
juste titre) sur la grâce et le pardon offerts par
Jésus aux pécheurs, n'oublions pas les valeurs
morales élevées qu'il a vécues et prêchées.
Il est difficile d'imaginer Jésus donnant avec davantage
de fermeté l'avertissement révélé
dans ces quelques versets. S'arracher l'il ? Couper
et jeter sa main? S'il faut cela pour être pur, cela
en vaut la peine; sinon, on risque de perdre la vie éternelle.
«
Si tous ceux qui prétendent obéir à
la loi de Dieu ne connaissaient pas l'iniquité, j'en
serais soulagée : mais ce n'est pas le cas. Même
ceux qui disent observer tous les commandements divins se
rendent coupables d'adultère. Que dire pour ranimer
leur sensibilité émoussée ? Les principes
moraux, s'ils sont strictement respectés, sont l'unique
protection de lâme. » - Ellen WHITE,
Counsels on Health, p. 621, 622.
Aussi
sévère que soit l'avertissement de Jésus
ici, n'oublions pas l'histoire de la femme prise en flagrant
délit dadultère (Jn
8.1-11 ). Comment trouver le juste équilibre
en respectant l'idéal évoqué par Jésus
dans les versets ci-dessus, tout en témoignant grâce
et compassion à ceux qui tombent, comme le révèle
ce récit ?