Leçon 7
9 - 15 février

 

7_ « Au moyen d’un mirroir, d’une manière confuse »

 

Étude de la semaine : Jb 12.10; 1 Co 6:19,20; Gn 3.17; Jn 12.31; 1 Co 1.18-21.

Versets à mémoriser: « En effet, la sagesse de ce monde est folie devant Dieu. Car il est écrit : Il prend les sages à leur propre ruse. » (1 Co 3.19)

Le théologien William Paley a écrit un livre en 1802, théologie naturelle, dans lequel il affirmait qu'il était possible de comprendre le caractère de Dieu en observant la nature. Il cherchait à montrer combien les caractéristiques animales témoignaient du soin et de l'habileté du Créateur. Même s'il a accordé trop d'importance à certaines de ces caractéristiques, parce qu'il n'a pas su reconnaître les effets du péché et de la chute sur la nature, l'ensemble de son argumentation n'a jamais été réfutée, en dépit de nombreuses et véhémentes déclarations affirmant le contraire !

Charles Darwin, en revanche, estimait qu'un Dieu ayant conçu la nature dans tous ses aspects ne pouvait être bon. Pour preuve, il mentionnait un parasite se nourrissant à l'intérieur de chenilles vivantes, ainsi que la façon cruelle dont un chat joue avec une souris. Pour lui, ces exemples montraient qu'un Dieu créateur rempli d'amour ne pouvait exister.

S'il est clair que Paley était plus proche de la réalité que Darwin, nous examinerons dans la leçon de cette semaine les déclarations de la Bible à propos de ce que la nature révèle ou non sur Dieu.

« Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat 16 février»