Un
scientifique a un jour remis en question le besoin de Dieu.
Il prétendait pouvoir créer l'humanité
aussi bien que n'importe quel Dieu. Dieu lui dit: «
Très bien. Vas-y, fais-le. » Le scientifique
ramassa de la poussière de la terre, mais Dieu dit
: « Attends un peu ! Commence par fabriquer ta
propre poussière. »
Même
si cette histoire n'est qu'une fable; son message est clair:
Dieu seul est capable de créer à partir du
néant. Il a créé toute la matière
de l'univers, ainsi que notre monde, nos biens et notre
corps. Il est le propriétaire légitime de
toute chose.
Quel
est le principal message des textes suivants ? Et que révèle
ce message sur ce que doivent être nos relations avec
le monde, avec les autres et avec Dieu? Ps
24.1, 2; Jb 41.3; Ps 50.10; Es 43. 1,2; 1 Co 6:19,20.
Un
cantique très apprécié commence par
ces mots: « Ce monde appartient au Père. »
Notre monde est effectivement celui du Père, parce
qu'il l'a créé. Il n'existe pas de droit plus
légitime à la propriété d'un
bien que le droit de celui qui l'a créé. Dieu
a créé l'univers entier, le ciel et la terre
et tout ce qu'ils contiennent, il en est donc le propriétaire.
Non
seulement le monde appartient à Dieu, mais il déclare
également être le propriétaire de tous
les êtres vivants. Personne d'autre que lui (du moins
en l'état de nos connaissances) ne possède
le pouvoir de créer la vie. Dieu est l'unique Créateur
et donc le seul propriétaire de toutes les créatures.
Nous dépendons tous de Dieu pour notre existence.
Nous ne pouvons que lui offrir notre allégeance;
en effet, tout, sur terre, lui appartient déjà.
En
outre, nous lui appartenons non seulement parce qu'il nous
a créés, mais, plus encore, par le fait qu'il
nous a rachetés. Don merveilleux de la part de Dieu,
la vie humaine a été considérablement
dévastée par le péché et prend
fin à la mort, perspective qui ôte tout son
sens à la vie. La vie, comme elle existe actuellement
pour nous, n'a rien d'extraordinaire. Notre seul espoir
est la merveilleuse promesse de rédemption; cela
seul peut « redresser » à nouveau la
situation. Ainsi, nous appartenons au Christ en vertu de
la création et de la rédemption.