Un
acteur comique avait l'habitude de jouer le rôle d'une
femme appelée Géraldine. Dans l'un de ses monologues,
elle était la femme d'un pasteur. Alors qu'elle rentrait
chez elle avec une robe qu'elle venait d'acheter très
cher, son mari (joué par le même comédien)
se fâcha. Géraldine lui répondit en hurlant:
« C'est le diable qui m'a poussée à
acheter cette robe! Je ne voulais pas l'acheter. Le diable
n'a cesse de me harceler ! »
Sa
tirade était censée être drôle.
Mais notre monde et le diable qui le parcourt montrent qu'il
n'y a pas la matière à rire.
Pour certaines personnes, le diable est une superstition désuète
qu'il ne faut pas prendre au sérieux. Les Écritures,
cependant, ne laissent aucune équivoque: même
si Satan est un ennemi vaincu (Ap
12.12; 1 Jn 3.8), il est présent sur terre et détermine
à causer autant de ravages et de destructions qu'il
est possible contre la création de Dieu.
Cette
semaine, nous examinerons la façon dont Satan a lancé
son offensive à l'origine et les leçons à
en tirer, afin que même si nous sommes en proie à
ses assauts, nous proclamions la victoire qui est la nôtre
en Christ.
«
Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat
9 février»
|