Lisez Gn
3.2, 3. Comment la femme a-t-elle répondu
au serpent? Quelles erreurs a-t-elle commises ?
Même
si Ève savait parfaitement ce que Dieu avait ordonné.
Ce qui démontre sa culpabilité, elle a fait
une déclaration qui allait plus loin que les paroles
de Dieu, du moins telles que la Bible les relate. Dieu avait
clairement ordonné à Adam et Ève de
ne pas manger de l'arbre ; rien n'était dit concernant
le fait de le toucher. Puisque nous ne savons pas pourquoi
elle a dit cela, il vaut mieux ne pas spéculer sur
ses motivations. Pourtant, en pensant qu'elle ne pouvait
pas toucher du fruit de l'arbre, elle aurait dû être
moins encliné à le manger, car de toute évidence,
elle ne pouvait manger ce qu'elle ne pouvait toucher.
Combien
de fois nous est-il arrivé la même chose: on
nous présente des enseignements qui pour la plupart,
sont en harmonie avec les Écritures. Or, les quelques
points qui ne le sont pas risquent de tout gâcher.
L'erreur, même mêlée à la vérité,
reste toujours une erreur.
Lisez
Mt
15.7-9. Quel reproche Jésus a-t-il fait aux
scribes et aux pharisiens concernant les ajouts a la Parole
de Dieu? Cf. Ap
22.18; Col 2. 20-23. Quel est le danger d'émettre
des lois qui, pense-t-on, protègent du péché?
Verset
23.
Ce
n'est pas l'absence de règles mais la dépravation
du cur qui favorise le péché. Même
dans notre société sécularisée,
on entend souvent des appels à promulguer davantage
de lois contre le crime alors qu'il en existe déjà
suffisamment. Nous n'avons pas tellement besoin de nouvelles
lois mais bien davantage d'un cur régénéré.
Risquons-nous
dagir à lencontre des avertissements
prononcés ici? De quelle façon? Il est essentiel
davoir des normes fondées sur les principes
bibliques. La question est de nous assurer que les normes
et les règles appliquées ne seront pas sources
dégarement.