LUNDI 14 janvier, 2013

3_ L’achèvement de la création

 

La création des animaux volants et marins


Lisez Gn 1.20-23. Ce texte contient-il des preuves d'une création accomplie par hasard ?

Les eaux et l'atmosphère ont été peuplées le cinquième jour de la création. Beaucoup estiment qu'il existe un lien entre le second et le cinquième jour. Les eaux ont été séparées par l'atmosphère le second jour et ces deux éléments ont été remplis d'êtres vivants le cinquième jour. Les événements de la création semblent avoir été suscités selon un ordre reflétant un schéma intentionnel et montrant avec quel soin méticuleux Dieu a agit. En d'autres termes, rien, dans le récit de la création, ne laisse la place au hasard.

Remarquez que les créatures vivant dans l'eau tout comme les créatures volantes sont mentionnées au pluriel, indiquant ainsi qu'il y a eu, le cinquième jour, création d'une grande diversité d'organismes, chacun d'eux doté de la faculté de se reproduire et de se multiplier. Cette diversité a existé dès le départ. Il n'y a pas eu d'ancêtre unique à partir duquel toutes les autres espèces auraient été issues, mais chacune de celles-ci semble avoir eu la capacité d'engendrer différentes sortes d'individus. Par exemple, le pigeon commun aurait donné naissance à plus de quatre cents espèces répertoriées et on connaît au moins vingt-sept sortes de poissons rouges. Dieu, apparemment, a donné à chacune de ses créatures la possibilité de se reproduire en donnant une grande variété de descendants, ajoutant ainsi à la diversité de la création.

Au verset 21, il est dit que « Dieu vit que cela était bon » ; ainsi, les êtres qu'il venait de créer étaient bien conçus, agréables à la vue, sans défaut et participant harmonieusement au dessein de la création.

Peu de créatures stimulent autant notre imagination et notre admiration que les oiseaux. Ce sont des animaux étonnants et conçus magnifiquement. Leurs plumes sont très légères et malgré tout solides, raides et pourtant flexibles. Les différentes parties d'une plume sont maintenues par un ensemble complexe de petites barbes qui s'entrecroisent avec légèreté et solidité. Les poumons de l'oiseau sont prévus pour recevoir de l'oxygène lors de l'inspiration comme de l'expiration, ce qui fournit la quantité d'oxygène requise lors de vols puissants, et ceci, grâce à la présence de sacs d'air présents dans certains os. Ces sacs maintiennent le taux d'oxygène et, en même temps, allègent le poids du corps. De ce fait, la position en vol est plus facile à maintenir et à contrôler. Les oiseaux ont été créés d'une manière incroyable.

En gardant tout cela à l’esprit, lisez Mt 10.29-31. Quel réconfort puisez-vous dans ces paroles ?