MARDI 23 Octobre, 2012
4_ Le salut, unique remède


L’offre divine, deuxième partie


Tout au long de l’histoire du salut, de la première promesse de Dieu (Gn 3.15) à l’ancien système sacrificiel (Gn 4.4), de l’alliance avec Abraham (Gn 12.1-3) au service du sanctuaire israélite (Ex 25.8) — tout devait annoncer [et culminer dans] la vie, la mort, la résurrection et le ministère céleste de Jésus-Christ, offre ultime de Dieu destinée à résoudre le problème du péché.

Ce n’est qu’en prenant conscience de ce qu’il a fallu pour y remédier — la croix — que l’on prendra le mieux conscience, sans doute, de la gravité du péché. Seule la croix montre combien il était vain, pour l’humanité, de chercher à résoudre ce problème elle-même. Une situation extrême appelait un remède extrême : on ne peut imaginer remède plus radical que la mort du Christ, Dieu lui-même prenant sur lui nos péchés.

La mort sacrificielle du Christ est présentée dans les Écritures comme expiant le péché, c’est-à-dire comme le moyen grâce auquel ce problème, dans toutes ses manifestations, finira par être éradiqué. En quoi la mort du Christ répond-elle au besoin humain de salut? Examinez cette question d’après les perspectives suivantes:

1. La justification et la réconciliation (être justifié devant Dieu) Voir Lc 18.9-14 Es 53.4-7; Rm 3.19-24,28; Za 3.1-4.

2. La sanctification et la restauration (vivre comme un juste devant Dieu): Voir 1 Co 6.8-11; Rm 6.1-8.

3. La glorification (l’assurance de ressusciter en vue de la vie éternelle): Voir Jn 5.24, 25 ; 1 Jn 5.9-13; 1 Th 4.16, 17.

Réfléchissez davantage au fait que le péché est si abominable qu’il a fallu la croix pour nous sauver de sa conséquence ultime, la mort éternelle. Le fait de garder constamment la croix présente à notre esprit ne nous dissuade-t-il pas de pécher? Commentez.