Quand
la première promesse de salut a-t-elle été
donnée et que signifie-t-elle? Gn
3.15.
Le
langage, ici, ne manque pas de frapper. Adam et Ève
ont péché. Le grand conflit cosmique leur
est maintenant annoncé en soulignant avec force «
l'hostilité » qui existera entre deux parties
opposées. C'est là une promesse précieuse
pour le cur humain désormais attiré
par le péché. Nous avons également
l'assurance que ce grand conflit ne sera pas éternel,
car la tête de l'ennemi sera un jour écrasée.
Dans ces versets, non seulement le grand conflit cosmique
est révélé pour la première
fois, mais nous apprenons également comment il se
terminera.
Paul
puisait son courage dans Gn
3.15. Comment a-t-il repris ce verset dans Rm
16:20? Quel point soulignait-il?
Dans
Gn
22.1-19, Moïse a décrit également
une scène d'expiation extraordinairement vivante.
Que nous apprend ce récit sur la future expiation
du Christ?
Notez
combien il est souvent fait mention du « père
» et du « fils » et comment ils se rendent
sur la montagne du sacrifice ensemble. Le fils porte le
bois et le père les instruments du sacrifice (le
feu et le couteau). Isaac) étant beaucoup plus jeune
et plus fort que son père, aurait pu résister
à Abraham sur la montagne du sacrifice. Nous assistons
au contraire à deux miracles: le père offrant
son fils et le fils offrant sa vie.
Quelle
puissante représentation de la mort sacrificielle
du Christ en notre faveur! Cette scène, aussi forte
et émouvante soit-elle, n'est pourtant qu'un infime
avant-goût du moment où des siècles
plus tard, un autre Père offrirait son Fils. Il n'y
aurait cette fois aucun animal pour mourir à la place
du fils. Le Fils lui-même mourrait sur l'autel. Le
Père renoncerait vraiment au Fils et le Fils à
la vie.
Là,
sur le mont Moriya, a été présentée
au monde une image très puissante (même si
ce n'est qu'une image) du plan du salut et de ce que coûterait
le rachat de l'humanité déchue de la misère
du péché.