Des cultivateurs de pommes de terre décidèrent de garder pour eux les plus grosses pommes de terre et de planter seulement les plus petites. Après quelques récoltes décevantes, ils découvrirent que dame nature avait réduit leurs récoltes à l’état de billes. Ce désastre apprit à ces fermiers une leçon de vie essentielle.

Ils ne pouvaient garder le meilleur pour eux-mêmes en ne laissant comme plants que ce qui restait. Les lois de la vie font que la récolte est le reflet de la plantation.

Par ailleurs, la plantation de petites pommes de terre est toujours une pratique courante. Nous gardons pour nous le meilleur et semons ce qui reste. Nous nous attendons à ce que, par quelque caprice des lois spirituelles, notre égoïsme soit récompensé par du désintéressement.» — International Student Fellowship Newsletter, March 2007.

Paul applique ce principe dans Ga 6.1-10. Au lieu d’avoir des membres qui se mordent et se dévorent « les uns les autres » (Ga 5.15), l’Eglise devrait être le lieu où l’Esprit nous incite à faire passer les autres avant nous. Comprendre que l’on est sauvé par la grâce devrait nous rendre humbles et davantage patients et compatissants envers autrui.

« Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat 24 décembre »