Lisez
Ellen G. White, La tragédie des siècles,
« L'imminence de la lutte », p. 631-642; «
L'avertissement final », p. 655-664; « La fin de
la tragédie », p. 719-738.
«
Ladoration, c'est s'incliner devant celui qui nous
a faits, reconnaitre sa sainteté et admettre notre état
de créature. Cest se soumettre à sa souveraineté
et répondre à sa présence majestueuse.
» - Richard M. Davidson, Worship in the Old Testament,
p. 3 (avec lautorisation de l'auteur).
«
Le psalmiste déclare: " Servez l'Eternel avec
crainte, et réjouissez-vous avec tremblement "
(Ps 2.11, Louis Segond). Dans notre culte, nous reconnaissons
l'impressionnante majesté et le pouvoir infini du roi;
nous nous souvenons que " notre Dieu est un feu dévorant
" (Dt 4.24; He 12.29), qui nous consumerait instantanément
s'il n'y avait pas le sacrifice substitutif de Jésus,
qui a été « consumé » sur l'autel
du calvaire à notre place. [...]
«
Ainsi, notre adoration maintiendra un équilibre entre
la joie et le respect. Ce sera une sainte joie [...] Notre culte
doit avoir une profondeur imposante [...] avec une joie vibrante.»
- Richard M. Davidson, Worship in the Old Testament, p. 30 (avec
l'autorisation
de l'auteur).
«
Un chant de louange auquel se joignent les séraphins
et les anges, et qui se répercute à l'infini sous
les voûtes du ciel, est alors entonné par les rachetés:
"Le salut est à notre Dieu, qui est assis sur
le trône et à l'agneau " (Ap 7.10) [...]
Dans
cette glorieuse multitude, personne ne s'attribue le salut;
personne ne prétend avoir vaincu par sa force ou sa vertu.
Les élus ne mentionnent pas ce qu'ils ont fait ou enduré.
La pensée et la note dominante de chaque hymne, c'est
" que le salut est à notre Dieu [...] et à
l'agneau".»
- Ellen G. White, La tragédie des siècles,
p. 723.