Dimanche 18 avril, 2010

4_L'eau de la Vie

L'eau vive


Lisez Jn 4.1-26. Quels sont les différents usages de l'eau dans ce récit ? Que signifient ces différentes sortes d'eau ? Quel message ce récit contient-il pour nous aujourd'hui ?

Dans sa conversation avec la femme de Samarie au puits de Jacob, Jésus dit de lui-même qu'il est « l'eau vive » (Jn 4.10). Cela implique qu'il est capable de satisfaire les besoins de paix, de joie, de liberté et de pardon de l'être humain, qu'il peut le délivrer de la culpabilité et lui donner la possibilité d'être un avec Dieu. C'est en Jésus-Christ que les hommes trouvent tout cela. II est merveilleux de savoir qu'il nous a offert à tous l'occasion de nous unir à lui dans le service. Son offre est toujours valable aujourd'hui, car il ne change jamais. Nombreux sont ceux d'entre nous qui ont vu ainsi leur inquiétude, leur sentiment d'insécurité et d'inutilité transformés à mesure qu'ils ont éprouvé sa compassion, son amour et son acceptation de l'autre.

Dieu a promis que tant que nous le rechercherons il nous donnera de l'eau spirituelle en abondance. Cette eau de la vie, qu'il avait déjà donnée aux enfants d'Israël (1 Co 10.1-4), il nous invite tous aujourd'hui à en prendre librement (Ap 22.17). Nous pouvons avoir une abondance de l'Esprit Saint dans notre vie aussi longtemps que nous restons tout près de Jésus-Christ, la fontaine de la vie. Dans son amour, celui-ci convie tous les hommes à boire de cette « eau vive » gratuitement (Jn 4.13, 14).

Peu importe qui nous sommes, peu importe notre passé, nos erreurs ou même notre situation présente, cette « eau vive » est pour nous. Nous sommes encouragés à en boire librement. Elle nous est offerte par la grâce du Christ.

C’est à nous tous que Jésus propose cette eau de la vie. Comment avez-vous personnellement découvert ses bienfaits et les promesses qui en découlent ? En buvez-vous autant que vous le souhaitez ou, d’une certaine manière, vous retenez-vous d’en prendre ? Dans ce dernier cas, demandez-vous pourquoi. Quel que soit le « gain » immédiat que vous pensez avoir en vous abstenant, comment pourrait-il soutenir la comparaison avec les promesses offertes en Jésus ?