6 au 12 février

7_ Le fruit de l'Esprit est : bienviellance

Étude de la semaine :Ps 51.12, 13 ; Jn 14.9 ; RM 3.12- 20 ; 7.7-12 ; Tt 2.14 ; He 1.2, 3.

Versets à mémoriser: «Car nous sommes son ouvrage, nous avons été crées en Jésus-Christ pour des œuvres bonnes que Dieu a préparées d'avance, afin que nous nous y adonnions.»(Ép. 2.10)

Dans les Écritures, «être bienveillant» signifie non seulement bien se comporter, mais aussi éviter le mal. La bienveillance est la sainteté mise en pratique. Si elle ne se traduit pas en actes, ce n’est pas de la bienveillance.

Dans Ga 5.22, le terme grec (agathôsune) à l'origine de ce mot évoque une bienveillance active, voire offensive. Plus qu'un excellent caractère, la personne bienveillante possède un caractère dynamique, s’exprimant par de bonnes œuvres.

On dit couramment qu'untel a « bon cœur » ou que c'est «une bonne âme ». Si ces expressions sont contestables sur le plan théologique (voir Jr 17.9), elles le sont encore plus dans la réalité. Avoir «bon cœur» ou être une «bonne âme» ne veut rien dire en soi si cela ne se traduit pas par des actes. Un «bon cœur» se révèle par de bonnes actions, de nobles faits, par des gestes de bienveillance concrets et pratiques en faveur d'autrui. C'est très bien d'avoir de bonnes intentions, de bonnes pensées, de bonnes motivations. Elles ont leur rôle. Mais ne nous faisons aucune illusion : être véritablement bienveillant, c'est faire le bien.

* Etudiez cette leçon pour le sabbat 13 Février.

 


 
2 aj