Du 15 au 21 Février, 2004
Samedi

 

8. Le bon Berger

 

Étude de la semaine

- VERSET A MEMORISER

C'est moi qui suis le bon. Le bon berger donne sa vie pour ses moutons. Jn 10.11

 

PENSÉE CENTRALE

Etant le bon Berger, Jésus offre tout ce dont nous avons besoin pour vivre dans la plénitude.

Notre vie a sa source dans sa mort. Guidé par son Père, Jésus se rend avec du retard à la fête des Tentes, au tem-ple de Jérusalem. Sa venue représente la vivante présence du grand JE SUIS. Il se propose comme l'incarnation de l'eau et de la lumière célébrées lors de cette fête on (7.37-39; 8.12 ; 9.5) , mais il est rejeté par la plus grande partie de l'assis-tance. N'ayant pu provoquer un impact positif au cœur du système religieux, il s'adresse à un aveugle, rejeté de ce sys-tème, et met en valeur la parabole vivante du bon Berger, qui veille même sur les exclus. En s'adressant à l'aveugle, Jésus met << en évidence le contraste existant entre son caractère et celui des conducteurs d'Israël >>. - Ellen WHITE, Jésus-christ, << Le divin Berger >>, p. 475.

Etant lui-même le bon Berger, Jésus offre la vie à ceux qui ont lutté pour la trouver ailleurs. Il promet que ses brebis re-connaîtront sa voix (Jn 10.4). Ceux qui s'en remettent entièrement à Jésus ont le privilège de connaître une relation pro-fonde et intime. C'est un ami rempli de sollicitude qui jamais ne nous quittera ni ne nous délaissera. Il guidera nos pensées et nos impressions. Et il nous comblera d'une vie abondante, pleine de sens, de joie et de plénitude.