A LIRE: Ellen WHITE, Messages choisis, vol. 1, p.
17-26, où vous noterez les commentaires de l'auteur sur la façon
dont la Bible a été écrite.
Au sujet de la foi dans les paroles de Jésus plutôt que dans la
vue et le toucher, Ellen White fait le commentaire suivant (sur
Jn 4.46-54) :<< L'officier avait voulu, avant de croire, voir
l'exaucement de sa prière ; mais il dut accepter la parole de Jésus
pour que sa requête fût entendue et le bienfait octroyé. Nous avons
besoin d'apprendre la même leçon. Nous ne devons pas attendre, pour
croire, de voir ou de sentir que Dieu nous entend. Il faut nous
confier en ses promesses. >> Jésus-christ. < < Si vous ne
voyez des miracles >>, p.181, 182 (c'est nous qui soulignons).
Relisez
2 Co 4.18 et He 11.1. Pourquoi notre espérance ultime réside-t-elle
dans ce que nous ne pouvons voir, au moins de façon immédiate
? Pouvons-nous voir actuellement des choses qui dureront éternellement
ou tout ce que nous voyons, dans son état actuel, sera-t-il
détruit un jour ?
Comment
des auteurs divers ont-ils pu décrire Jésus selon des perspectives
différentes ? Celles-ci vous aident-elles ou non à croire
que leurs récits sont véridiques ? Si leurs récits étaient
semblables, n'aurions-nous pas tendance à croire qu'ils se
sont copiés au lieu de raconter l'histoire de Jésus comme
ils l'ont comprise, ou même comme ils l'ont mémorisée sous
l'inspiration du Saint- Esprit ? Justifiez votre point de
vue.
Que
nous indique l'essentiel de la leçon de cette semaine sur
l'importance du témoignage dans la mission de l'église ? .
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