Du 27 octobre au 2 novembre
Samedi

5. Une espérance éternelle

* E'TUDE DE LA SEMAINE

- VERSET A MEMORISER

Pour moi, je regarderai vers l'éternel, je mettrai mon espérance dans le Dieu de mon salut. Mi 7.7.
PENSEE CENTRALE

Nous parlons d'espérance, mais de quelle espérance s'agit-il? Qu'implique-t-elle ? Que signifie-t-elle? Quelle est notre ultime espérance?

Quelles que soient les bonnes choses dont nous jouissions dans cette vie, quels que soient les plai-sir que nous donnent celles-ci, les exploits qu'elles nous permettent, elles sont toujours tem-poraires et constamment temperées par des contrariétés. Personne, pas même le plus heureux des hommes, ne peut vivre sans douleur, sans peur ou sans souffrance. Et de nombreux êtres humains connaissent une douleur, une peur et une souffrance très profondes.

Cependant, nous possédons l'espoir que la vie ne s'arrête pas là. Bon ou mauvais, long ou court, heureux ou malheureux, notre séjour terrestre n'est qu'une courte crispation comparée à ce qui nous attend à la fin.

Il s'agit là de notre ultime espérance, d'une espérance très puissante. Si puissante, en fait, qu'elle devrait complètement nous transformer.

Cette semaine, nous examinerons un certain nombre de vies, qui, sous de nombreux aspects, ne sont pas très différentes de la nôtre. En effet, comme nous, ces hommes ont affronté la difficulté, la souffrance, la mort. Ils espéraient, comme nous, que quelque chose de merveilleux les attendait après toutes les épreuves endurées. Si cette espérance ne nous transforme pas, rien ne le fera.