Du 6 au 12 octobre
Samedi

2. L'espérance dans l'Ancien Testament

* E'TUDE DE LA SEMAINE

- VERSET A MEMORISER

Qu'ils mettent en Dieu leur espoir, qu'ils n'oublient pas les hauts faits de Dieu, et ses commandements, qu'ils les observent. Ps 78.7, BJ.
PENSEE CENTRALE

L'espérance n'est pas seulement quelque chose d'abstrait, un concept philosophique ou théolo-gique, qui n'existerait qu'à la façon de quelque grand principe directeur flottant dans le ciel ou dans l'esprit de Dieu sans jamais toucher terre, notamment, sans jamais nous toucher, nous les hommes qui vivons sur terre. L'espérance doit être quelque chose de tangible, de concret une expérience vécue dans notre propre vie ou celle d autrui. Sinon, pourquoi l'appeler espérance?

L'histoire telle que nous la rapporte l'Ancien Testament est très instructive, car elle montre comment se concrétise l'espérance et comment Dieu donne des raisons d'espérer, même dons les pires circonstances.

La leçon de cette semaine présente différents exemples d'espérance tirés de la vie et de l'expérience de personnages de l'Ancien Testament. Elle commence par Noé, s'arrête à Abraham, puis sonde l'histoire des Israélites à travers les grandes promesses des prophètes au sujet de la recréation du ciel et de la terre, une espérance que nous partageons aujourd'hui.

Une chose devrait être claire: en un sens, l'Ancien Testament parle d'espérance avec autant d'intensité que le Nouveau. En fait, l'espérance présente dans l'Ancien Testament se trouve partiellement réalisée dans le Nouveau. Sans l'Ancien Testament, les promesses du Nouveau n'auraient guère de sens.

S'il est certain que quelle que soit la situation, il est possible à Dieu de redonner de l'espoir aux hommes, notre ultime espérance n'existe qu'en rapport avec la vie et le ministère de Jésus-christ, qui accomplit toutes les promesses d'espérance que l'on trouve dans la Bible hébraïque.