<< Celui qui se confie dans ses richesses tombera, mais
les justes s'épanouiront comme le feuillage. >> (Pr 11.28)
<< Beaucoup
me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur? N'est-ce pas en ton
nom que nous avons prophétisé, en ton nom que nous avons chassé
des démons, en ton nom que nous avons fait beaucoup de miracles
? >> (Mt 7.22)
De quelle façon magnifique
Ellen White, par son discernement, complète le message donné dans
Gn
3.15 (voir la leçon de mardi)! Dès que s'est fait sentir la
nécessité d'une espérance, celle-ci s'est manifestée. En effet,
dès que le péché a fait son apparition, un Sauveur a été prévu.
Le Seigneur a créé l'humanité
libre. Une telle liberté impliquait un risque, celui du péché, qui
a effectivement surgi. Dieu, cependant, a aussitôt offert un remède
au péché, même si cela devait lui coûter très cher.
Néanmoins, presque
dès le début, les hommes se sont détournés de cette espérance.
Recherchez les textes
suivants. Notez par écrit te que dit chacun d'eux. Qu'ont-ils en
commun?
Dieu a communiqué une
espérance à Adam et Eve, espérance qui n'existait qu'en lui. Malheureuse-ment,
tout au long de l'histoire, les hommes ont établi leur propres systèmes,
leur compréhension propre de l'espérance et de ses sources. Les
versets ci-dessus donnent juste quelques exemples de la façon dont
les êtres humains placent leur espoir, façon qui, en réalité, ne
leur en laisse guère.
Examinez votre propre
vie, vos propres combats et vos propres peurs. Vous reconnais-sez-vous,
même de manière subtile, dans les textes ci-dessus? Expliquez. Cependant,
n'est-il pas bon, parfois, d'espérer en d'autres choses qu'en l'espérance
qui vient directe-ment de Dieu?
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