" La bienheureuse espérance que représente le retour du Christ n'es't pas une doctrine secondaire. Elle est le ciment même de la foi chrétienne. L'espérance est à la fois la lisse et la trame de l'expé- rience humaine. L'espérance du retour du Christ est une expérience qui permet aux chrétiens de garder le regard levé en haut. L'apôtre Pierre parle d'une " espérience vivante " (1 P 1.3). Elle donne à l'expérience chrétienne sa vitalité. La vie de celui qui la possèdent est gouvernée et façon-née par elle. "

Ceux qui ont one ferme espérance dans le ciel, qui croient que Jésus revient, sont de meilleurs cito-yens ici et maintenant. Ceux qui espèrent en une terre nouvelle cherchent à en vivre les principes dès à présent sur notre vieille terre. Ceux qui chantent " le pays rempli de beauté et de bonheur qui se rapproche peu à peu " ou " les rivages toujours verts de la-bas " prennent leur part de responsabilité pour que les rivages d'ici restent verts. Ceux qui évoquent les rues parves d'or de ce pays-là paient leurs impots sur cette terre de sorte que leur rues soient en bon état. Les parents qui croient en la nouvelle terre, ou tout sera " enchantement et joie " cherchent à recréer un petit ciel ici sur terre en s'aimant l'un l'autre et en aimant leurs enfants [.. .] Le retour du Christ n'est pas une théorie, il devrait imprégner tous les aspects de notre expérience ici et maintenant. > - R. R. BIETZ, in Review and Herald, exemplaire du centenaire, 8 juin 1961.