11. Trop riches pour espérer
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- VERSET A MEMORISER
" Je suis riche et j'ai fait de bonnes faires, dis-tu, je
ne manque de rien. Mais tu ne sais pas combien tu es malheureux
et misérable ! Tu es pauvre, nu et aveugle." Ap 3.17, BFC.
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Vous souvenez-vous
de la première leçon, qui évoquait Adam et Eve en eden avant la
chute ? Ils étaient sans espérance, parce qu'ils n'en avaient pas
besoin. La leçon de cette semaine aborde au contraire ceux qui ont
un grand besoin d'espérance, mais qui sont si satisfaits d'eux-mêmes
qu'ils n'en ont même pas conscience. Position on ne peut plus dangereuse
!
Notre
vision prophétique nous situe à l'époque de l'Eglise de Laodicée.
Il n'y a là pas de quoi être fier, car l'Eglise est décrite comme
étant riche et n'ayant besoin de rien ! Malheureusement, cette caractéristique
propre à l'Eglise actuelle révèle satisfaction de soi et confiance
en sa réussite propre. L'église de Laodicée pense qu'elle a atteint
ses buts ! Mais l'analyse que Dieu fait d'elle montre qu'elle est
pitoyable, incapable de reconnaître qu'elle est pauvre, aveugle
et nue.
Cependant,
la bonne nouvelle de l'évangile est qu'il existe un espoir même
pour Laodicée, grâce au sang versé sur la croix. Par le Christ,
tout ce dont elle manque peut lui être donné au centuple. Telle
est sa grande - pour ne pas dire : sa seule - espérance.
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