Jésus a laissé, entre autres, deux
contributions immédiates aux disciples : l'attente de son proche
retour et une mission internationale. En quoi ces deux facteurs ont-ils
un impact sur notre sentiment de la mission et l'appel à prêcher
l'Évangile au monde ?
Quelqu'un a dit un jour : " Nous devrions
être prêts comme si Jésus revenait aujourd'hui, mais
continuer à uvrer [dans la mission de l'Église] comme
s'il ne devait revenir que dans des centaines d'années ".
Quel bon sens y-a-t-il dans cette idée, et comment peut-on l'appliquer
à l'appel de notre vie ?
Pourquoi la vie, la mort, la résurrection
et le retour de Jésus doivent-il être cruciaux dans tout
ce que nous prêchons ? Ou bien, voyons les choses ainsi : Quel intérêt
revêt notre prédication sans ces événements
?
Que devrait nous enseigner l'histoire d'Ananias
et Saphira sur combien il est difficile pour nous de connaitre le cur
des autres, que ce soit pour le bien ou le mal ?
Connaissez-vous des Gamaliel modernes ? Ou peut-être
êtes-vous en mesure d'endosser ce rôle pour d'autres ? Dans
tous les cas, évoquez en classe des moments ou des exemples où
le fait de donner ou de recevoir des conseils sages a été
utile. Quelles leçons peut-on tirer de ces récits ?
8 Ellen G. White, Testimonies for the Church, vol. 8, p. 37.
9 Ellen G. White Comments, The SDA Bible Commentary, vo1. 6, p. 1056.