MERCREDI 1er juillet, 2015
1_ LA NATURE MISSIONNAIRE DE DIEU

 

L'initiative divine pour nous sauver


La Bible montre qu’après la chute de nos premiers parents, c’est Dieu qui est venu les chercher, et non l'inverse. Au contraire, l'homme et la femme ont essayé de se cacher de la présence du Seigneur. Quelle puissante métaphore pour la race déchue : ils fuient celui qui vient les chercher, le seul qui puisse les sauver. Adam et Eve l'ont fait en Eden, et à moins de s’abandonner aux soupirs du Saint-Esprit, les gens font encore la même chose aujourd'hui.

Par bonheur, Dieu n'a pas rejeté nos premiers parents, et il ne nous rejette pas non plus. Dieu a appelé Adam et Eve en Eden: « Ou es-tu ? ». Jusqu’à aujourd'hui, il nous appelle aussi. II est bien le premier missionnaire.

« Par le don ineffable de son Fils, Dieu a entouré le monde entier d'une atmosphère de grâce tout aussi réelle que l’air qui circule autour de notre globe. Tous ceux qui consentent à respirer cette atmosphère vivifiante vivront et croitront jusqu'a la stature d'hommes et de femmes en Jésus-Christ. »

Bien entendu, la plus grande révélation de l’activité missionnaire de Dieu, c’est 1'incarnation et le ministère de Jésus. II est venu sur cette Terre pour accomplir beaucoup de choses (détruire Satan, révéler le véritable caractère du Père, réfuter les accusations de Satan, montrer que l'on peut garder la loi de Dieu), mais la raison cruciale de sa venue était de mourir sur la croix a la place de l'Humanité, afin de nous sauver du résultat final du péché, qui est la mort éternelle.

> Que nous enseignent chacun de ces textes sur la mort de Jésus ?
Jean 3.14, 15 ; Esaie 53.4-6; 2 Corinthiens 5.21.

« Celui qui n'a pas connu le péché, [Dieu] l'a fait pour nous, péché. Voila ce qu'il a fallu pour que nous devenions en lui justice de Dieu. » (Colombe.) On a appelé cette idée le « grand échange », Jésus prenant nos péchés sur lui et souffrant comme un pécheur afin que nous, bien que pécheurs, soyons comptes comme justes devant Dieu, comme Jésus lui-même.