MERCREDI 6 mai, 2015
6 _ Les femmes

 

Quelques femmes qui ont suivi Jésus


Lisez Luc 10.38-42.

Quelles vérités spirituelles importantes peut-on tirer de cette histoire (voir également Lc 8.14) pour nous-mêmes?

En tant qu’hôtesse, Marthe s’affairait à beaucoup de tâches (Lc 10.40) et était occupée à tout préparer pour les invités. Mais Marie s’était assise aux pieds du Seigneur et écoutait sa parole (v. 39). À tel point que Marthe s’est plainte à Jésus qu’elle était seule à tout faire. Jésus ne fait pas de reproches à Marthe pour le fait qu’elle se préoccupe du service, mais il souligne le besoin d’avoir les bonnes priorités dans la vie. Passer du temps en compagnie de Jésus, c’est la base pour tout disciple; les repas en commun peuvent attendre.

« La cause du Christ demande des ouvriers diligents et énergiques. Un vaste champ d’activité s’ouvre devant les Marthe zélées pout l’œuvre religieuse. Mais il faut d’abord qu’elles s’asseyent, avec Marie, aux pieds de Jésus. Il faut que la diligence, la promptitude et l’énergie soient sanctifiées par la grâce du Christ, pour que la vie devienne une puissance invincible au service du bien. » Ellen G. White, Jésus-Christ, pp. 520,521.

Lisez Luc 8.1-3 ; 23.55, 56 ; 24.1-12.

Qu’enseignent ces versets sur le rôle des femmes dans le ministère du Christ?

Alors que son ministère prenait de l’ampleur, Jésus allait de ville en ville et de village en village; il prêchait et enseignait (Lc 8.1, Colombe), avec les 12 disciples qui l’accompagnaient. Luc rapporte également le témoignage puissant de certaines femmes que Jésus avait guéries, qui étaient touchées par sa prédication, qui étaient riches, et qui l’ont également suivi. En voici quelques-unes que Luc mentionne :

(1) des femmes délivrées de mauvais esprits, dont Marie de Magdala

(2) Jeanne, femme de Chuza, intendant d’Hérode;

(3) Susanne;

(4) beaucoup d’autres, qui utilisaient leurs biens pour les servir (v. 3).

Lorsque l’on comprend que Jésus est mort pour chaque être humain, nous saisissons mieux l’égalité réelle de chaque personne devant Dieu. Avec quelle justesse reflétons-nous cette vérité dans notre attitude envers les autres ? Autrement dit, comment déraciner, si nécessaire, toute attitude qui vous fait regarder les autres de haut, comme s’ils avaient moins de valeur que vous?