VENDREDI 30 janvier, 2015

 

« Croire à la théorie de la vérité, se dire chrétien, faire inscrire son nom sur les registres d’église ne suffit pas. [...] Quelle que soit notre profession de foi, elle est inutile si le Christ ne se manifeste pas en nous par des œuvres de justice. » Ellen G. White, Les paraboles de Jésus, p. 272.

« La plus grande erreur de l’esprit humain, aux jours du Christ, fut d’imaginer que l’on pouvait obtenir la justice par une simple adhésion à la vérité. L’expérience humaine a montré qu’une connaissance théorique de la vérité est incapable de sauver une âme. […] Les plus sombres chapitres de l’histoire sont ceux qui conservent le souvenir des crimes inspirés par le fanatisme religieux. [...] Le même danger persiste aujourd’hui. Beaucoup de gens se croient chrétiens, simplement parce qu’ils souscrivent à quelques formules théologiques. Mais ils n’ont pas introduit la vérité dans la vie pratique. [...] On peut faire profession de croire à la vérité ; mais si l’on ne devient pas plus sincère, plus aimable, plus patient, plus pénétré de pensées célestes, on est une malédiction pour soi-même et pour le monde.

La justice que le Christ enseignait consiste à conformer son cœur et sa vie à la volonté révélée de Dieu. » Ellen G. White, Jésus-Christ, pp. 298,299.

À méditer

• Parlez de la manière dont nos décisions ont un impact sur les autres, que ce soit en bien ou en mal, Pourquoi ne peut-on échapper à ce fait ? Cette vérité a pour la première fois été révélée dans l’histoire de la Chute, et jusqu’à ce jour les conséquences du choix d’Adam et Eve se font sentir dans la vie de chacun. Il peut être tentant d’essayer de quantifier la mesure de bien ou de mal que nos décisions pourraient entrainer, mais c’est risqué, car souvent nous ne connaissons pas l’impact qu’ont nos choix, Pourquoi donc, à la lumière de Dieu et de sa loi devons-nous choisir de faire ce qui est bien, peu importe les conséquences éventuelles que nous craignons?

• Le livre des Proverbes fait une distinction très nette entre le juste et l’insensé, et grâce à ces versets, nous savons ce qui est bien et mal. Pourquoi, cependant, devons-nous être prudents quant à ceux que nous jugeons comme insensés ? D’un autre côté, combien de foi n’avons-nous pas été trompés par ceux-là mêmes que nous pensions juste?