Cétait un médecin brillant
et un ancien dans une Église en vue constituée
de plusieurs centaines de membres. Il était le principal
contributeur aux projets denvergure de lÉglise,
et sa générosité encourageait les autres
à être plus généreux. Ce médecin
était également un grand prédicateur.
Quand le pasteur était en déplacement, il prenait
la parole, et tous attendaient ses messages avec impatience,
car ils étaient profonds théologiquement, sincères,
et spirituels.
Puis un jour, la vérité éclata.
Labsence du docteur le sabbat précédent
nétait pas due au fait quil était
en congé, comme beaucoup lavaient supposé.
Non, il avait été retrouvé mort dans
son appartement avec vue sur la mer après une surdose
de drogues dites récréatives.
Pire encore, on avait retrouvé dans sa chambre à
coucher des douzaines de vidéos et de magazines pornographiques.
Les membres dÉglise étaient effondrés,
en particulier les jeunes, qui lavaient toujours considéré
comme un modèle. Bien que tout jugement soit entre
les mains de Dieu, les uvres du docteur remettent évidemment
en question la réalité de sa foi.
Lidée? Bien que nous soyons sauvés
par la foi, nous ne pouvons séparer la foi des uvres
dans la vie du chrétien, vérité cruciale,
mais souvent mal comprise, et dont il est question dans le
livre de Jacques.
«
Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat
8 novembre»
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