VENDREDI 18 juillet, 2014

 

Lisez Ellen C. White, « La promesse du Saint-Esprit, » p.245-252, dans Témoignages pour l’Eglise, vol. 3 « Le don du Saint-Esprit, » pp.43-50, dans Conquérants pacifiques.

« En tout temps et en tous lieux, dans toutes nos douleurs et dans toutes nos afflictions, quand les perspectives paraissent sombres et l’avenir angoissant, quand nous nous sentons dénués de tout et délaissés, le Consolateur nous est envoyé en réponse à la prière faite avec foi. Les circonstances peuvent nous éloigner de tous nos amis terrestres mais aucun événement, aucune distance, ne peut nous séparer du Consolateur céleste. Où que nous soyons, où que nous allions, il est toujours à notre droite pour nous soutenir et nous encourager. » - Ellen C. White, Jésus-Christ, p.673.

« Le Saint-Esprit était le plus excellent de tous les dons qu’il [Jésus] put solliciter de son Père, pour le bien de son peuple. Il devait être donné comme un moyen de régénération sans lequel le sacrifice du Christ resterait inefficace. Le pouvoir du mal était allé grandissant, pendant des siècles, et les hommes se soumettaient à cette captivité diabolique avec une docilité étonnante. La résistance au péché et la victoire ne seraient rendues possibles qu’au moyen de la troisième Personne de la Divinité, qui viendrait, non pas avec un pouvoir amoindri, mais la plénitude de la puissance divine. C’est l’Esprit qui nous permet de bénéficier de l’œuvre accomplie par le Rédempteur du monde. » p. 675.

 

À méditer

 

• Etant donné la tendance humaine à l’auto-exaltation, quelles leçons nous enseigne l’action humble et soumise du Saint-Esprit?

• Dans son dialogue avec Nicodème, Jésus a comparé l’Esprit au vent. Quelles leçons spirituelles tirer de cette comparaison ?

• Certains prétendent que la preuve que l’on est « rempli de l’Esprit », c’est que l’on peut parler « en langues. » Comment répondre à cette affirmation?

• Nous avons tendance à penser à l’œuvre du Saint-Esprit à un niveau individuel, ce qui est exact bien entendu. Mais en même temps, comment, en tant que corps, vivre la réalité de sa présence dans notre Église ?