Texte de référence: Ga
3.10-14.
Que nous disent les textes suivants sur la nature humaine
? Comment voyons-nous la réalité de cette
vérité chaque jour ? Ps 51.5, Es 64.6,
et Rm 3.23.
À l’exception du Christ, tous les êtres
humains ont en commun qu’ils ont été
infectés par le péché d’Adam.
Par conséquent, nul ne pourra jamais prétendre
être totalement juste. Certains, comme Elie et Hénoch
ont vécu d’une manière exceptionnellement
proche de Dieu, mais personne n’a pu vivre de manière
totalement irréprochable. En effet, c’est avec
cette réalité en tête que Paul déclare
: « Tous ceux en effet qui relèvent des
œuvres de la loi sont sous la malédiction de
la loi, car il est écrit: Maudit soit quiconque ne
persévère pas en tout ce qui est écrit
dans le livre de la loi, pour le faire! »
(Ga 3.10). La vérité, c’est que la loi
exige une conformité totale et complète, et
qui a jamais répondu à cela, à part
Jésus?
Comment Romains 6.23 nous aide-t-il à
définir ce que signifie la « malédiction
de la loi » ? Voir également Gn 2.17 et
Ez 18.4.
Chacun est naturellement sous la malédiction de
la loi. Puisque la loi ne souffre aucune marge d’erreur,
il est impossible pour quiconque de rectifier un péché
passé. Par conséquent, la mort est le destin
de chaque individu. Jacques nous dresse un tableau encore
plus sombre en nous rappelant qu’enfreindre un seul
domaine de la loi est tout aussi coupable qu’enfreindre
tous les domaines (Jacques 2.10). Le salaire du péché
c’est la mort, et la mort n’a pas de quotas.
Quand on reconnaît la condition désespérée
de ceux qui sont sous la malédiction, on apprécie
plus facilement la mesure de l’amour de Dieu : «
Or voici comment Dieu, lui, met en évidence
son amour pour nous le Christ est mort pour nous alors que
nous étions encore pécheurs »
(Rm 5.8). Par sa mort, « le Christ nous a rachetés
de la malédiction de la loi en devenant malédiction
pour nous » (Ga 3.13).
Réfléchissez à ce que Paul a dit:
« Tous ceux en effet qui relèvent des œuvres
de la loi sont sons la malédiction ». C’est
à cause du fait que la loi ne peut nous sauver. Ainsi,
nous sommes maudits de mort. Comment le fait de reconnaître
cette vérité nous aide-t-il à mieux
apprécier ce que nous avons reçu en Jésus
? De quelles manières manifestons-nous cette appréciation
dam nos vies ? Voir 1 Jean 53.