VENDREDI 13 juin, 2014


Lisez Ellen G. White, « La loi à l’ère chrétienne, » Signs of the Times, 5 août 1886.

« Pourquoi les apôtres doivent-ils enseigner la repentance envers Dieu ? Parce que le pécheur a des problèmes avec le Père. Il a transgressé la loi ; il doit voir son péché, et se repentir. Quelle œuvre doit-il accomplir ensuite ? Regarder à Jésus, dont le sang seul peur purifier de tout péché. La foi en Christ est nécessaire, car la loi n’a pas de qualité de salut. La loi condamne, mais elle ne peut pas pardonner au transgresseur. Le pécheur doit dépendre des mérites du sang de Christ. « A moins qu’on ne me prenne pour refuge, qu’on ne fasse la paix avec moi, qu’on ne fasse avec moi la paix, » déclare notre Rédempteur miséricordieux. Notre Seigneur a déclaré que celui qui aimera davantage est celui à qui il aura beaucoup été pardonné. Et seul celui qui se voit tel qu’il est, sali par le péché, un transgresseur de la sainte loi de Dieu, sentira qu’il a besoin du pardon. Celui qui a la plus complète conviction des déclarations sacrées de la loi, verra le plus clairement l’énormité de ses offenses, et ressentira qu’il lui a été en effet beaucoup pardonné. » Ellen G. White, Signs of the Times, 5 août 1886.


À méditer

 

• Lisez attentivement la déclaration précédente, signée Ellen G. White. De quelle manière cet extrait éclaire-t-il les enseignements bibliques abordés ce trimestre ? Que signifie : un pécheur doit « dépendre des mérites du sang de Christ » ?

• Attardez-vous plus longuement sur l’avertissement donné dans Jude 4. Si les hommes proclament la grâce de Dieu, ce sont de toute évidence des croyants. Pourtant, Jude dit qu’ils renient le Seigneur. Quelles graves implications cela a-t-il pour ceux qui prétendent que la grâce de Dieu a annulé la loi ? Quand les gens affirment que la loi a été éliminée, de quoi essaient-ils réellement de se débarrasser ?

• Comment la négation de la loi, ou même d’un seul commandement, fait-elle le jeu de Satan, qui cherche à « abolir » la loi de Dieu ?