VENDREDI 28 mars, 2014

 

Lisez Ellen WHITE, Conquérants pacifiques, chap 21, p. 195, 196; Chap. 23, p. 213, 214.

« Des flammes de feu descendent du ciel. La terre s’entrouvre, les armes qu’elle recèle dans son sein jaillissent de toutes les creuvasses. Les rochers mêmes prennent feu. Le jour est venu, « ardent comme une fournaise » ou « les éléments embrasés se dissoudront, et [où] la terre, avec les œuvres qu’elle renferme sera consumée » (Malachie 4 :1; 2 Pierre 3.10. Sa surface ressemble à une masse de métal en fusion, à un immense feu. Il est venu le temps du « jugement et de la ruine des impies ». « Cest un jour de vengeance pour l’Eternel, une année de représailles pour la cause de Sion.» (Esaïe 34.8 ; Proverbes 11.31)

« Les méchants reçoivent leur rétribution sur la terre (Proverbes 11.31). Ils « seront un chaume, et ce jour qui vient les enflamera, dit l’Eternel des Armées. » (Malachie 4.1) (V. Lausanne). Les uns périssent en un instant, tandis que d’autres souffrent durant plusieurs jours. Chacun recoit « selon selon ses œuvres » — Ellen WHITE, La Tragédie des siècles, chap. 42, p. 730, 731.

 

À méditer

 

•Dietrich Bonhoeffer, que sa foi chrétienne a conduit à la mort, a rédigé un ouvrage célèbre intitulé Le prix de La grâce, éditions du Cerf, 1985. Vous trouverez ci-dessous quelques citations tirées de cet ouvrage. Comment s’harmonisent-elles avec notre étude de cette semaine ?

• « La vie ancienne est abandonnée et entièrement soumise. Le disciple est arraché à une sécurité relative pour vivre dans une insécurité absolue (c’est-à-dire, en vérité, dans la sécurité absolue de la communion avec Jésus)... » - p.62 63.

« Si nous voulons suivre Jésus, nous devons faire un certain nombre de démarches. La première, qui suit son invitation, coupe le disciple de son existence précédente. » - p.66, 67.

• « Tout chrétien doit porter la croix. La première souffrance semblable à celle du Christ que chacun doit expérimenter est l’appel abandonner ce qui l’attache à ce monde […] Quand le Christ fait appel à quelqu’un, il lui ordonne de venir et de mourir. » — p. 99.