Le
réformateur protestant Jean Calvin estimait que la
désunion et la division étaient les principaux
stratagèmes du diable contre l'Église et il
conseillait aux chrétiens d'éviter les schismes
comme une plaie.
Mais
l'unité doit-elle être préservée
au prix de la vérité? Que se serait- il passé
si Martin Luther, le père de la Réforme protestante,
avait, au nom de l'unité, choisi d'abjurer sa vision
sur le salut par la foi seule lorsqu'il s'est tenu devant
la diète de Worms?
"
Si le réformateur avait fléchi sur un seul
point, Satan et ses armées eussent remporté
la victoire. Mais son inébranlable fermeté fut
le gage de l'émancipation de l'Église et l'aube
d'une ère nouvelle. " - Ellen White, La tragédie
des siècles, "Luther à la diète
de Worms ", p. 173.
Dans
Ga
2.1-14, on voit l'apôtre faire tout ce qui était
en son pouvoir pour maintenir l'unité du cercle apostolique
malgré les tentatives, de la part de certains croyants
pour la détruire. Mais aussi importante qu'ait été
cette unité pour Paul, il a refusé de compromettre
la vérité de l'Évangile pour y parvenir.
S'il est possible de vivre l'unité dans la diversité,
l'Évangile ne doit jamais être compromis â
cette fin.
"
Etudiez cette leçon pour le sabbat 15 Octobre "
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