Lisez Ellen WHITE, Le ministère de la guérison,
" Guérison mentale ", p. 207-221.
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Rien ne dispose mieux à la santé du corps et
de l'âme qu'un esprit de reconnaissance et de louange. Notre
devoir formel est de résister à la mélancolie,
aux pensées sombres et au mécontentement : il est
aussi impérieux que celui de prier. Pourrions-nous ressembler
à un convoi funèbre, nous lamentant et nous plaignant
tout le long du chemin alors que nous sommes en route pour la
maison du père ? " - Ellen WHITE, Le ministère
de la guérison, " Guérison mentale ",
p. 216.
"
Sans la croix, il n'y aurait aucune possibilité d'être
uni au Père. C'est d'elle que viennent toutes nos espérances,
par elle resplendit l'amour du Sauveur. Et lorsque, devant la
croix, le pécheur contemple celui qui est mort pour le
sauver, il peut se livrer pleinement à la joie, car il
sait que ses péchés sont pardonnés. Celui
qui s'agenouille avec foi au pied de la croix est arrivé
au plus haut sommet que l'homme puisse atteindre. " -
Ellen WHITE, Conquérants Pacifiques, " La croix
exaltée ", p. 186.
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Cette espérance d'un héritage réservé
dans la nouvelle terre réjouissait les premiers chrétiens,
même dans leurs épreuves et leur tribulations. C'est
là ce qui fait votre joie, écrivait Pierre, quoique
maintenant, puisqu'il le faut, vous soyez attristés pour
un peu de temps par diverses épreuves, afin que l'épreuve
de votre foi, plus précieuse que l'or périssable
(qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour
le résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque
Jésus-Christ apparaitra - lui que vous aimez sans l'avoir
vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant
d'une joie ineffable et glorieuse, parce ce que vous obtiendrez
le salut de vos âmes pour prix de votre foi. "
- Idem, " Un fidèle berger ", p. 464.