Quel est le lot commun des êtres humains et pourquoi?
Quel est l'unique remède à cette condition?
Jr
8.46; Rm 3.21-28; 5. 12.
Le péché est le plus grand problème
auquel nous soyons confrontés. Les Égyptiens,
eux, croyaient que c'était la mort; c'est pourquoi
ils ont développé l'art de momifier les morts
et construit de vastes pyramides pour les conserver. Les
philosophes grecs pensaient, eux, que l'ignorance était
le seul véritable ennemi du bonheur; aussi mettaient-ils
l'accent sur l'éducation. Mais le plus grand problème
de l'humanité, c'est le péché. Celui-ci
détruit le bonheur et la paix du cur. Le péché
tue et aucun médicament actuel ne peut y remédier.
Dès le jour de notre naissance, nous commençons
à mourir. Le seul remède réside en
Jésus-Christ et dans la croix. " Aucune question
ne nécessite d'être sondée avec autant
de séreux ou de façon aussi fréquente,
aucune question n'est à ce point ancré dans
les esprits que l'impossibilité, pour l'homme déchu,
de mériter quoi que ce soit par ses propres uvres.
Le salut n'existe que par la seule foi en Jésus-
Christ. " Ellen White, Faith and Works,
p. 19.
D'après le poète grec Homère, les
bateaux qui passaient par le détroit du Messine risquaient
soit de se briser sur les rochers de Scylla d'un coté,
soit de sombrer dans les tourbillons de Charybde de l'autre.
De même, les chrétiens courent constamment
le risque de tomber soit dans le légalisme, soit
dans la grâce à bon marché. Certains
pensent que parler de l'assurance du salut en Christ risque
de conduire à une grâce à bon marché
et à la tolérance pour les comportements pécheurs;
ils insistent donc sur l'importance de l'obéissance.
D'autres croient que parler de l'obéissance et de
la vie chrétienne victorieuse risque de détourner
l'attention du Christ et de conduire au légalisme;
ils mettent donc l'accent sur le rôle de Dieu dans
le salut.
Le chrétien équilibré, lui, aura l'assurance
du salut en Jésus et aura le mode de vie du chrétien
victorieux. Ces deux aspects sont indissociables, comme
les deux faces dune pièce de monnaie. Celui que Dieu
sanctifie, il le justifie également. L'un ne va pas
sans l'autre. Nous sommes sauvés par la foi seule,
mais la foi qui sauve ne vient pas seule. De bonnes uvres
l'accompagnent, même si elles ne peuvent nous justifier
aux yeux de Dieu. Notre salut s'enracine uniquement dans
ce que Jésus a fait pour nous.
Votre vie spirituelle vous donne un sentiment de découragement?
Vous n'obtenez pas les victoires escomptées? Le fait
que vous êtes accepté uniquement grâce
à ce que Jésus a accompli pour vous, et non
en fonction de vos victoires ou de vos échecs, n'est-il
pas une grande source d'espérance, une espérance
qui vous permet de ne jamais abandonner le combat contre
le péché et le moi? Justifiez votre réponse.
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