5. Un noble prince de paix
Vendredi

 

Pour Aller Plus Loin

<< Le cœur d'un père humain s'attendrit sur son fils. Il considère le visage du petit enfant, et tremble à la pensée des dangers que la vie lui réserve. Il désire protéger cet être chéri contre la puissance de Satan, et le préserver des ten-tations et des luttes. Dieu consentit à donner son Fils unique en vue d'un conflit plus redoutable et d'un risque plus effrayant et cela, afin que le sentier de la vie devînt plus sûr pour nos enfants. "Voici en quoi consiste l'amour!" Ad-mirez, ô cieux! et sois étonnée, ô terre! >> - Ellen WHITE, Jésus- Christ, << Un Sauveur vous est donné >> p. 34.

<< C'est le Christ qui a consenti aux conditions nécessaires au salut des hommes. Aucun ange, aucun homme ne possédait les facultés suffisantes pour la grande Oeuvre qui devait être accomplie. Le Fils de l'homme et lui seul de-vait être élevé; car seule sa nature infinie était capable d'entreprendre le processus de rédemption. Le Christ a ac-cepté de se lier aux hommes déloyaux et pécheurs, de prendre part à la nature humaine, d'offrir son propre sang et de faire de son âme une offrande pour le péché. Dans les conseils célestes, la culpabilité humaine avait été pesée, la colère suscitée par le péché évaluée et pourtant le Christ a annoncé qu'il endosserait la responsabilité de remplir les conditions qui étendraient l'espérance à une race déchue. >> - Ellen WHITE, in Signs of the Times, 5 mars 1896.

 

À Méditer

• Comme nous l'avons vu dans Es 11, le Seigneur a présenté en une seule image les deux venues du Christ. Cela explique quelque peu pourquoi certains Juifs n'ont pas accepté le Christ lors de sa première venue: ils s'attendaient à ce qu'il accomplisse des choses qui ne se produiront qu'à son retour. Cela ne nous montre-t-il pas combien il est important que nous comprenions correctement ce dernier? De fausses informations, par exemple, concernant sa seconde venue, n'inciteront- elles pas les gens à se laisser attirer par la grande séduction de Satan à la fin des temps? Voir Ellen WHITE, La tragédie des siècles. << Le temps de détresse >> p. 665-688.