A LIRE: Ellen WHITE, Le meilleur chemin, <<
Connaître Dieu >>, p. 83-89.
<< Quand vous verrez l'énormité du péché, quand vous vous verrez
tels que vous êtes, ne vous laissez pas aller au désespoir. C'est
pour sauver des pécheurs que Jésus-christ est venu en ce monde.
Nous n'avons pas à apaiser Dieu envers nous, puisque - ô amour insondable
! - c'est " Dieu qui réconcilie en Jésus-christ le monde avec
lui-même- (2
Co 5.19) . Il attire, par son tendre amour, les coeurs de ses
enfants égarés. Il n'est pas de parents terrestres qui sa-chent
manifester envers les fautes et les erreurs de leurs enfants la
patience que Dieu exerce envers ceux qu'il désire sauver. >> - Ellen
WHITE, Le meilleur chemin, << La repentance >>,
p. 33.
<< Paul n'avait cessé d'exalter la loi divine, bien qu'ayant
toujours affirmé son inefficacité pour sauver les hommes de la sanction
promise aux transgresseurs. Ceux qui font le mal doivent se repentir
de leurs péchés et s'humillier devant Dieu dont ils ont attiré la
juste colère en violant la loi. Il faut qu'ils manifestent leur
foi dans l'efficacité du sang du Christ, seul moyen de pardon. Le
Fils de Dieu a donné sa vie en sacrifice pour eux, et il est monté
au ciel pour inter-céder en leur faveur auprès du Père. Par la repentance
et la foi, ils pourront échapper à la condamnation du péché, et,
par la grâce du Christ, obéir à la loi divine. >> - Idem. Conquérants
pacifiques << Dernier voyage de Paul à Jérusalem >>, p. 348.
<< Nombreux sont ceux qui ne comprennent pas ce qu'est vraiment
la repentance. Des multitudes regrettent leurs péchés et font même
une tentative de réforme extérieure, craignant que leurs mauvaises
actions ne leur amènent des souffrances. Mais ce n'est pas de la
repentance au sens biblique du terme. Elles se lamentent sur la
souffrance plutôt que sur le péché. Ainsi en était-il du chagrin
d'Esaü quand il a réalisé qu'il avait perdu pour toujours son
droit d'aî- nesse. >> - Idem, Conflict and courage, p. 63.
Paul se réjouissaient de ce que les Corinthiens éprouvaient
de la tristesse et du repentir. Pourquoi la repentance s'accompagne-t-elle
toujours de tristesse? Cependant, de quelle facçon
Satan cherche-t-il parfois à nous emmener trop loin dans la
tristesse et pourquoi?
Il existe une ligne subtile entre la culpabilité, celle qu'un
chrétien n'a plus a porté, et la repentance, qui implique
un sentiment assez semblable. Comment faire la distinction
entre les deux?
En vous aidant de la lecon de cette semaine, expliquez le
sens de l'expression: la pratique d'uvres dignes de
la repentance (Ac
26.20: voir aussi Mt
3.8).
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