13. Une vie de foie
Lundi

 

» ACCOMPLIS EN JESUS

<< Et vous êtes accomplis en lui, qui est le chef de toute principauté et autorité.>> (Col 2.10, Darby)

Etudiez le texte d'aujourd'hui. Si besoin est, lisez les quelques versets précédents. Quelle incroyable déclaration! Le verset 9 dit qu'en Jésus << habite corporellement toute la plénitude de la divinité>>. La BFC dit ceci : << Car tout ce qui est en Dieu a pris corps dans le Christ pour être pleinement présent en lui>>. 0r, par la foi, nous devenons un avec le christ! I1 n'est donc pas surprenant que le texte dise que nous sommes << accomplis en lui >>. Cette complétude est plus facile à comprendre quand on sait qui il est - celui en qui réside la plénitude de la Divinité. N'est-ce pas ce qui s'appelle connaître des êtres en haut lieu! Quelles relations!

Ainsi, par Jésus, qui a tout pouvoir dans le ciel et sur la terre, nous avons accès à tant de bienfaits que d'autres n'ont pas

Pensez à ce que nous avons reçu par Jésus. Premièrement, nous avons reçu le pardon des péchés (Col 1.14). Nous avons la promesse de ne plus être condamnés (Rm 8.1). Nous avons dès à présent la promesse de la vie éternelle (1 Jn 2.25). Nous avons la promesse du Saint-Esprit (Jn 14.26) , la promesse d'une puissance permettant de vaincre le pé- ché (Judo 1.24), la promesse de sa justice (Rm 1.17) , la promesse que, quoi qu'il arrive, nous pouvons avoir confiance en la bonté du Seigneur. ( Rm 8.28).

En bref, grâce au pardon qui nous a été offert à la croix, nous avons la promesse que, quels que soient nos labeurs, lut-tes, souffrances, peurs et echecs, Dieu nous aime, il est mort pour nous et nous offre la certitude qu'à la fin de toutes choses, nous vivrons avec lui pour toujours dans un paradis éternel où la douleur, la souffrance et toutes les affreuses choses que nous subissons ici-bas dans un monde de péché n'existeront plus.

Ayant reçu toutes ces promesses en Christ, nous, chrétiens, ne devrions-nous pas être les gens les plus ai-mants, les plus gënéretlx et les plus désintéressés du monde? Ne devrions-nous pas donner à la mesure de ce que nous avons reçu? Ne devrions- nous pas offrir aux autres l'aide, le réconfort et l'espérance que nous-mêmes avons reçus? Si vous ne donnez pas généreusement à autrui, demandez-vous si vous avez pleine-ment saisi par la foi les promesses offertes. Dans l'affirmative, comment changer?