9. Le signe de l'alliance
Vendredi

 

Pour Aller Plus Loin

A LIRE: Ellen WHITE, Le meilleur chemin, << L'amour de Dieu pour l'humanité >>, p. 7-13, Les paraboles de Jésus ". La mesure du pardon , p. 205- 212.

"Celui qui a goûté un jour à l'amour de Jésus désire le sentir toujours plus profondément, et il sera d'autant plus richement et abondamment exaucé qu'il aura fait part à d'autres de ce qu'il aura reçu. Chaque fois que Dieu se révèle à l'âme humaine, celle-ci augmente sa capacité de connaître et d'aimer. Son cri continuel est : " Plus près de toi." Notre Dieu aime faire '' infiniment au-dela de tout ce que nous demandons ou pensons " (Ep 3.20). A Jésus qui a renoncé à lui-même pour sauver l'humanité, le Saint-Esprit fut donné sans réserve. De même, cet Esprit sera accordé à tout disciple qui donnera son cœur sans réserve à son Maître pour qu'il en fasse sa demeure. >> - Ellen WHITE, Une vie meilleure, p. 35.

 

À Mediter

" Vous avez entendu qu'il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu hairas ton ennemi. Mais moi, je vous dis: aimez vos en-nemis, [bénissez ceux qui vous maudissent et faites du bien a ceux qui vous haïssent] " (Mt 5:43,44) Puisque Dieu me de-mande d'aimer mes ennemis, ne fait-il pas de même? Si Dieu aime ses ennemis, n'aime-t-il pas son principal ennemi, Sa-tan? N'aurait-il pas pardonné même au diable si celui-ci s'était sincèrement repenti? Dans ce cas, la tragedie que représen-te la destruction des méchants réside dans le fait que ces pécheurs auraient pu être pardonnés, mais qu'ils ont refusé d'ac-cepter le pardon offert. Êtes-vous d'accord avec ce raisonnement? Notez par écrit vos raisons quelles qu'elles soient.

Pourquoi certaines personnes estiment-elles nécessaires de "mériter " un pardon gratuitement offert ?

Pourquoi le fait de savoir que je ne peux en aucun cas détruire l'amour de Dieu ou son désir de pardonner me donne-t-il la possibilité d'être plus honnête avec Dieu qu'avec mon conjoint, mes parents ou mes frères et sœurs ?

Que répondez-vous à quelqu'un qui vous dit : " Si je me confesse et suis pardonné, pourquoi est-ce que je ne le ressens pas ainsi ? Pourquoi le fardeau de la culpabilité me pèse toujours autant ? " Ou bien, que répondez-vous à celui qui vout dit : " Écoute, j'ai confessé mes péchés, Dieu m'a pardonné et maintenant, je ne veux plus en entendre parler. Je ne veux pas non plus entendre parler des problèmes qu'ils ont causés. Mes péchés sont pardonnés ; c'est tout ce qui importe " ?