Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d'un archange, au son de la trom-pette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront en premier lieu. En-suite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons enlevés ensemble avec eux dans les nuées, a la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. ( 1 Th 4.16,17)

Lisez les versets ci-dessus et, dans vos propres termes, avec autant de détails que possi-ble, notez par écrit ce qu'ils disent sur ce qui arrivera un jour ou l'autre :

Au moins deux aspects se dégagent de ces promesses, des aspects qui nous aideront à maintenir notre regard fixé sur cette espérance.

Premièrement, le retour du Christ est un événement qui n'a rien d'ordinaire. Rien dans la nature, dans l'histoire, ni selon la logique ne laisse présager ou même suggérer un tel événement. Au con-traire, la nature et l'histoire montrent qu'à la mort, nous ne devenons rien d'autre que du carbone et de la poussière. Cela nous indique que la plus grande espérance que nous possédions, la seule qui donne à notre vie un sens véritable, c'est l'espérance en une chose qu'il nous est impossible de réa-liser. Nous sommes totalement impuissants, entièrement dépendant et à la merci de Dieu. Si cela ne nous rend pas humbles, rien ne le fera.

Deuxièmement, en rapport avec ce que nous venons de dire, nous possédons cette grande espé- rance uniquement parce qu'on nous a parlé d'elle. Ni la logique pure, ni le raisonnement scientifi-que, ni l'étude du monde naturel n'évoquent le retour de Jésus. Nous ne pourrions en avoir con-naissance par nous-mêmes. Aucune expérience scientifique ne nous l'enseignera. Il s'agit d'un événement surnaturel, qui transcende la nature. Cette espérance existe pour nous parce que Dieu en parle, lui qui nous a révélé sa vérité par sa parole. Sans cette révélation, comment aurions-nous cette magnifique espérance ? Ce serait impossible.

Relisez les deux textes d'aujourd'hui. En vous aidant du commentaire ci-dessus, dites ce qu'ils enseignent sur notre ultime espérance. En d'autres termes, parce que notre espé- rance ne dépend en rien de nous-mêmes ou de nos mérites, quelle devrait être notre attitude à cet égard ?