Du 1er au 7 Decembre
Samedi

10. L'espérance et le delai, deuxieme partie

* E'TUDE DE LA SEMAINE

- VERSET A MEMORISER

0r, l'espérance ne trompe pas, parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos coeurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné. Rm 5.5.
PENSEE CENTRALE

Comme nous l'avons abordé la semaine dernière, nous tous qui possédons l'espérance du retour de Jésus devons affronter les problèmes posés par son " délai ". Ce dernier crée parfois en nous un doute et ce doute, un déni. Certains vont même jusqu'à remettre en question le bien-fondé de l'es- pérance promise en disant que celle-ci est prêchée depuis si longtemps qu'elle ne peut plus être va-lable. Cette semaine, nous étudierons ce défi un peu plus en profondeur.

Qu'est devenue la promesse de son retour ? Tel est le défi que pose ce message d'espérance. Les années, les décennies, les siecles et même les millénaires ont pu affaiblir la détermination de ceux qui attendent le retour du Seigneur (et l'espérance qui en découle).

La Bible répond que le Seigneur n'est pas lent à revenir, qu'il accomplira ce qu'il a promis et qu'il est essentiel d'être toujours prêt. Renoncer à l'esperance, c'est renoncer à l'aspect le plus vital du message chrétien. En effet, sans l'espérance de son retour, celui-ci ne signifie plus grand-chose.

Parler de délai, c'est suggérer que s'écoule un temps bien défini. Mais Dieu n'a pas donné de date précise. Cette notion de délai n'existe que par rapport à la vision humaine des choses. Le temps écoulé est plus long que nous-mêmes (et non le Seigneur) l'aurions pensé.